Famagouste

Tirant le Blanc

Joanot Martorell

Nouvelle édition publiée avec l’aide de l’institut Ramon Llull.
Traduit du catalan par Jean-Marie Barberà.
Préface de Marie Cosnay

Le jeune chevalier Tirant le Blanc se rend avec ses compagnons au secours de l’empire de Byzance en train de sombrer sous les coups des Sarrasins. Il tombe amoureux de la fille de l’empereur, et n’aura de cesse qu’il parvienne à s’en faire aimer.

Récit de chevalerie retentissant, grondant du tonnerre des galopades et maculé de giclées de sang, Tirant le Blanc est aussi un roman d’esprit où pulsent les désirs de jeunes gens avides de prendre part à une existence exaltante.
Bardé d’acier médiéval c’est un écrit de chair moderne, qui a été interdit à la lecture, que Cervantès jugeait être « le meilleur livre du monde », et dont on peut enfin découvrir toute la splendeur et le flamboiement.

« On trempe dans cet immense roman de chevalerie comme dans l’aube de la narration ; une aube longue et parfaite, contenant toutes les couleurs de la nuit qui précède et du jour qui suivra : à la fois épique, sociale, érotique, militaire, géographique, économique, fantastique. »
Libération, Philippe Lançon

« Il faut le dire : oui, on peut lire un roman de chevalerie de nos jours, en tous les cas celui-ci. [...] C’est la Comédie humaine ! Guerre et Paix ! Et le fougueux Martorell possède la même force narrative que Flaubert ou Faulkner ! »
L’Humanité, Pascal Jourdana

« Voici une superbe traduction de ce roman de feu. »
Lire

« Duelliste, voleur, écrivain, on lui doit 1 000 pages étourdissantes d’aventures débridées à travers l’Europe médiévale. »
Le Figaro